✘ Prénom : Logan. ✘ Nom : Holt. ✘ Surnom : Aucun, merci. ✘ Âge : Fin vingtaine. ✘ Race : Humaine, définitivement humaine. ✘ Nationalité : Américaine. ✘ Orientation : Vie privée, tu connais ?
✘ Groupe : Chasseur ✘ Métier : Chasseur - Trader
✘ Crédit de l'avatar : Ookurikara - Touken Ranbu
✘ Arme : Cartouches de sel et balles d'argent ainsi que les fusils qui vont avec, lames de couteau de chasse en argent, eau bénite, etc. Bref, le bataclan de base quoi. ✘ Pouvoirs : Je suis pas un super héros, alors on oublie les pouvoirs.
« Tes yeux, c’est pour décorer ? Ou tu sais t’en servir ? Parce que, franchement, je crois que t’es capable de regarder le spécimen par toi-même et vas pas me faire croire que t’es aveugle. De toute manière, même si c’était le cas, je n’en aurais un peu rien à foutre. Demande à un passant, moi je me casse. Sérieux, j’ai autre chose à faire que de te décrire ma tronche. »
Avec une peau mate, héritée de sa mère mexicaine, et des yeux tirant sur l’ambré, rehaussés par des lentilles pour leur donner cette touche parfois dorée, Logan sort légèrement du lot. Mais ces traits bien proportionnés, fermes tout en étant en quelque sorte délicats, et ces muscles fuselés, il les dissimule derrière des vêtements médiocres, de ceux qui ne mettent pas en valeur sa silhouette. Il se contente de maigres t-shirts aux couleurs unies, souvent blanches ou grises, et d’un jeans relativement délavé qu’il plonge dans de vieilles bottes d’armée. Outre l’extravagance d’un manteau et de gants de cuir, il évite généralement les accessoires qui, de son expérience, ne font pas un bon ménage lors de bagarres. Plutôt, il se rabat sur une mèche de cheveux teint de rouge qui contraste avec les autres mèches brun chocolaté, et un tatouage de dragon japonais qui longe son bras gauche en s’y enroulant, la tête de la bête reposant sur son omoplate.
« Un caractère de chien, ça répond à tes questions ? Non, hein. Évidemment que non, trop vague, pas assez précis. Et si je rajoute que je hais être questionné, encore plus quand ça attrait à ma vie privée ? Et, étrangement, mon caractère, c’est assez personnel, si tu vois ce que je veux dire. De toute façon, si tu tiens tant que ça à me connaître, t’as qu’à ramener ton cul et essayer de faire la conversation en face à face au lieu de m’envoyer un questionnaire à deux balles. »
Logan. C’est ce type de personne qui manie à la perfection le cynisme, le sarcasme et l’ironie, le tout saupoudré d’un manque de tact et d’un humour au premier degré un peu trop poussé, si bien qu’il est parfois difficile de deviner s’il blague ou s’il est sérieux. Expressif quand vient le temps d’être dédaigneux, moqueur ou hautain, son visage se renferme toutefois lorsque c’est la douleur ou la tristesse qui prend le pas sur ses sentiments. L’affliction est une faiblesse qu’il se refuse de montrer à qui que soit, croyant à tort qu’il doit paraître fort peu importe que ce soit ses ennemis ou ses amis qui se tiennent face à lui. Même seul, enfermé dans une planque, il maintient le masque, se convaincant qu’il n’a pas mal, qu’il ne souffre pas, qu’il peut encore garder la cadence. C’est quelqu’un d’entêté qui, une fois qu’il a pris sa décision, ne revient jamais dessus, quitte à se mettre à dos le monde entier.
L’approcher signifie chercher à dompter un animal méfiant ; il n’accorde que très rarement sa confiance et préfère mordre plutôt que de parlementer. Coups en premier, questions plus tard. Autant dire qu’il agit sous l’impulsivité, lui qui a le sang chaud bouillant et qui ne vit plus que pour les sensations fortes. L’adrénaline est l’unique chose qui lui donne l’impression d’être vivant, loin des cadavres sur pattes qu’il a tendance à renvoyer six pieds sous terre. Et cette fois, pour de bon. Et si les familles de Vegas pouvaient s’entredéchirer, ça lui ferait des vacances.
« Tu veux mon journal intime avec ça ? Non, parce que, niveau indiscrétion, tu atteints des sommets. Franchement, est-ce que j’ai l’air de raconter ma vie au premier venu ? »
Né aux États-Unis, Logan ne se considère toutefois pas originaire d’une région en particulier, ayant passé la majorité de sa vie à « voyager » à travers le pays, et ce, depuis sa plus tendre enfance. De même, il n’a pas non plus vécu assez longtemps au même endroit pour s’y attacher et y ressentir un quelconque sentiment d’appartenance ; la halte la plus longue qu’il ait vécue doit tourner aux alentours de quatre mois et il avait à peine 7 ans.
Mais de cette escale, il ne se souvient que de sa chambre de motel vétuste et du chevet de son père, l’homme cloué au lit et assigné au repos par sa femme. Blessé lors d’une précédente chasse, son épouse avait décrété qu’il était hors de question d’y retourner tant et aussi longtemps qu’il ne s’était pas remis de ses blessures plutôt conséquentes. Sauter du deuxième étage ne s’était pas fait sans heurt et ses deux jambes en avaient payé le prix fort.
Si sa mère s’était trouvé un petit boulot de serveuse au restaurant du coin, le temps que son mari guérisse et de subvenir à leurs besoins – les frais d’hôpital ayant vidé grassement leur portefeuille et le marché de la bourse n’était pas toujours une source de revenus sûre, eux qui se basaient souvent sur les talents de trading du père pour tirer quelques profits –, Logan avait dû s’occuper du mieux qu’il le pouvait de son père. Ce qui consistait surtout à lui remplir son verre d’eau et à lui ramener une assiette du frigidaire, préalablement préparée par sa mère la veille. Autrement, il passait la majorité de ses journées assis aux côtés de son paternel à écouter ses histoires de chasse que le trentenaire édulcorait légèrement. Son fils vivrait bien assez tôt la dureté de leur monde, il pouvait le préserver encore quelques années de son ignobilité.
Ces quatre mois, dans lesquels son père prenait du mieux, étaient probablement ceux où Logan avait passé le plus de temps avec son paternel. Ils revêtaient un petit quelque chose de cher à son cœur et il lui arrivait encore, parfois, de se revoir assis en indien sur le lit, à côté de son père, les yeux pétillants d’étoiles en écoutant ses récits, plus fier que jamais d’être son fils.
Puis la petite famille avait repris leur train de vie, parcourant les quatre coins du pays au gré de la chasse. Son père chassait la plupart du temps seul, laissant son épouse prendre soin de leur enfant. C’était elle qui s’occupait de l’éduquer, de lui apprendre à écrire et à lire, ainsi que toutes les autres bases des matières scolaires. Logan n’avait peut-être jamais fréquenté l’école, sauf une fois vers 16 ans pour une traque, mais il n’était pas plus démuni qu’un autre quand venait le temps des formules mathématiques ou de l’histoire en général. Sa mère était certes une femme douce, toutefois, elle se montrait intransigeante et Logan, bon gré mal gré, avait appris à faire preuve de rigueur. Entouré de ses parents ou des amis de ceux-ci, la maturité n’avait eu d’autres choix qu’être à ses portes et d’être précoce. Adulte avant l’âge, bien avant l’âge, voilà ce que son éducation lui avait en partie apporté.
Quand il fut assez âgé et apte à se garder seul, vers ses douze ans, sa mère avait repris la chasse, accompagnant son mari pour reprendre leur duo. Pas tout le temps, bien sûr, mais de plus en plus fréquemment. Elle s’était arrêtée le temps d’élever son fils dont la naissance avait d’ailleurs été accidentelle, ses parents n’ayant jamais prévu d’avoir un enfant. Avec leur mode de vie, ils savaient que ce serait dangereux. Sauf qu’elle était tombée enceinte et ils n’avaient pu se résigner à avorte ou à donner l’enfant à l’orphelinat. Et le résultat était là. Ils lui avaient transmis leur savoir-faire au même titre que leur haine envers tout ce qui n’était pas humain et même s’ils lui avaient donné le choix, Logan avait décidé de suivre leur pas à ses 15 ans, sa décision étant irrévocable. De toute manière, il ne se voyait pas vivre autrement que comme ses parents et il fallait bien que quelqu’un se dévoue pour éliminer la vermine.
On lui donna sa première traque à ses 16 ans, et elle fut un grand succès. Ses parents avaient eu peur qu’il hésite au moment fatidique, ce qui ne fut pas le cas. Pour Logan, on lui avait si souvent répété que ces choses n’étaient que des monstres à l’apparence humaine que l’abattre ne lui avait fait ni chaud ni froid. C’était comme abattre un chevreuil. Ce n’était pas humain, ce n’était donc pas un meurtre. Pas de quoi en faire un drame et ça pesait encore moins sur sa conscience, peu importe ce qu’en disait le commissariat et les médias qui prenaient encore ces vulgaires choses pour des humains.
Et sa « carrière » fut lancée, commençant avec les traques que lui donnaient ses parents. D’abord les plus faciles, puis de plus difficiles, le temps qu’il s’adapte, avant de commencer à chercher par lui-même ses prochaines traques une fois majeur. En parallèle, son père passait une à deux heures par jour avec lui, lui enseignant toutes les ficèles du trading. La chasse, c’est beau, mais ça ne nourrit pas et ne paye pas. Logan partageait le même goût que son paternel pour le risque et le trading faisait partie de ces risques qu’il trouvait grisant. À la moindre erreur, il pouvait perdre gros. Parce qu’il ne jouait pas au long terme, mais bien au court terme, et il fallait éviter de se tromper dans ses prévisions. La bourse ne pardonnait pas ; c’était comme la chasse, un faux pas et c’était fini.
Ce qu’il aimait du trading, c’est qu’il n’avait besoin que d’internet et d’un ordinateur, de se renseigner sur le marché et d’écouter ce que l’on disait tout en prêtant oreille aux nouvelles, ce qui en sommes se mariait bien avec la traque où il devait se renseigner sur tout et rien. Il pouvait aisément conjuguer les deux et il continuait d’ailleurs de le faire aujourd’hui.
Entre temps, il avait appris à battre de ses propres ailes et à s’éloigner de ses parents, à partir en chasse seul et pas nécessairement en famille ou avec des amis chasseurs connus par le biais de sa mère ou de son père. Il s’agit encore de son mode de vie, à la différence près qu’il a changé de terrain de chasse, s’orientant vers le Nevada. Certaines rumeurs dans le milieu concernant des « groupes », des familles du crime organisé, qui seraient constitués principalement d’êtres inhumains. Il ne lui en fallu pas plus pour partir de Washington, précédant lieu de chasse, et lancer une nouvelle traque. Ne restait plus qu’à se renseigner et à se préparer pour la mener à bien, et ce, dans les rues même de Las Vegas.
✘ Pseudo : Vaesen ✘ Âge : 22 ans.
✘ Comment avez-vous connu le forum : On m'y a traîné de force. ✘ Votre avis : Accueil chaleureux en tout cas ! ✘ Votre fréquence sur le forum : Quand je peux ? J'ai un horraire surchargé. ✘ Un ajout : Pourquoi tamponner une saucisse ? ê-e
Un autre chasseur pour les dominer tous ! Et dans les te... Oups pardon, mauvais dialogue. Les monstres n'ont qu'à bien se tenir En tout cas, si tu as des questions, n'hésite pas ! On ne mord pas :p
Bonne continuation !
Dossier du personnage ✘ Métier: Sans emploi ✘ Description Physique: ✘ Inventaire/Pouvoirs:
Femora Nils
Femora Nils
Fantôme Smoothdawn • Modératrice
Messages : 382
Points RP : 109
Points ☆ : 8
Age : 32
Nationalité : Norvégienne
Situation : En couple avec Nini ♥
Femora Nils
Ven 24 Fév 2017 - 4:09
Mince, un autre chasseur !
En tout cas, BIENVENUE QUAND MÊME PAR ICI ! Des nouvelles têtes font toujours plaisir ! Mais ne sois pas trop méchant avec mes collègues surnaturels..
Et ne tamponnez pas saucisse merci, y a que moi qui peut tamponner saucisse
Invité
Invité
Invité
Invité
Sam 25 Fév 2017 - 17:11
Bienvenue :)
Si tu veux tamponner ma saucisse, ça me dérange pas ! *sort loin* * n'as pas assez dodo ses derniers temps*
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 26 Fév 2017 - 2:40
Bienvenue à toi et j'espère que tu vas bien t'amuser ici !
Et voilà ! La fiche est terminée et un gros merci pour l'accueil, elle est vraiment chaleureuse et sympathique, ça fait chaud au cœur. J'attends le verdict et s'il y a quoi que ce soit à changer, n'hésitez pas à me le dire ! :)
P.S: Nina, pour deux paquets de nounours en guimauve, on en reparle ;)
Nous avons lu avec attention ta fiche. Il y a quelques fautes par-ci et par-là mais rien de bien grave qui retarderait ton arrivée dans le Nevada : ton dossier est donc validé, tu peux dès à présent t'aventurer dans les rues de Vegas et botter le fesses des monstres !
Maintenant que tu es validé, tu peux parcourir le forum à ta guise ! Nous te conseillons de faire un tour du côté du forum de demandes (ici). Il y a plusieurs sujets qui pourront t'intéresser, comme des demandes de liens ou les demandes de lieux. Cette partie sert également pour les recherches de partenaires RP !
Il y a également une partie appelée Réseaux (ici), dans laquelle tu pourras répertorier les liens que ton personnage aura créé avec les personnes qu'il aura rencontrées.
Enfin, si tu as besoin d'un code HTML ou d'une création graphique, tu peux toujours faire ta demande dans ce sujet. Les membres te donneront volontiers un coup de main !
Sur ce, passe de bons moments à Las Vegas ! Si tu as des questions, n'hésite pas à MP un membre du staff