✘ Prénom : Cecil ✘ Nom : Ward ✘ Surnom : Aucun ✘ Âge : 211 ans ✘ Race : Démon ✘ Nationalité : Américain ✘Orientation : Hétérosexuel
✘ Groupe : Infernaux ✘ Métier : Psychologue
✘ Pouvoirs : Endurance, Perception, Sens
✘ Crédit de l'avatar : Van Hohenheim - Fullmetal Alchemist
La première chose que l'on voit sur ce corps est sans doute sa chevelure blonde, longue et se terminant par une élégante queue de cheval. Puis la barbe, de la même couleur et entretenue avec soin au rasoir électrique. Au milieu du visage du quadragénaire, un nez imposant prend ses aises, discrètement habillé par de fines lunettes argentées. Enfin, des yeux verts ainsi qu'une bouche parfaitement banale complètent la panoplie. A noter tout de même ce petit sourire en coin, grand amateur d'ironie et d'humour noir.
Voilà voilà.
...
Comment, vous êtes encore là ? Allons bon. Que dire de plus ? Une taille moyenne, relativement fin et pas franchement musclé, le reste est relativement classique. Franchement, ce type aurait quand même pu aller plus souvent aller à la salle de gym avant que j'arrive. Ou au moins se faire tatouer par un artiste talentueux pour se démarquer un peu plus, ce n'est pourtant pas compliqué... Enfin bref, je pinaille, ce corps reste appréciable globalement. La garde-robe qui va avec est relativement passe-partout, bien qu'on dénombre de nombreuses chemises, une dominance de teintes rouges et l'absence totale de tongs, même en plein été. En revanche, vu les températures actuelles, il est rare de me voir sans une élégante écharpe, et ce même si je ne souffre plus du froid depuis longtemps. Chacun ses petites manies. Et puisqu'on aborde le sujet...
Ah, l'esprit, la personnalité, le mental... Voilà des notions qui me plaisent. J'adore tout ce qui touche à l'être, l'intérieur de soi, en un mot l'âme. Alors que je suis loin d'être très bavard de manière générale, ce genre de sujets peuvent très vite se transformer en discussions-fleuves si vous me laissez faire... Ou en longs monologues si vous vous en fichez et me laissez parler tout mon soûl.
La fragilité de l'esprit humain, ses failles et ses rouages délicats me passionnent donc, et cela s'en ressent dans ma façon de traiter avec les humains. Ceux que je considère ennuyeux (c'est à dire une écrasante majorité) me lassent très vite, et je peux vite devenir désagréable si je ne peux échapper à leur compagnie pour quelque obscure raison. A l'inverse, ceux qui sont plus fragiles, ou tout simplement en décalage avec le troupeau et sa norme... Oh, ceux là sont les plus délicieux. C'est après eux que je cours, ne ménageant pas mes efforts pour les attirer dans ma toile... Et le regarder s'y empêtrer jusqu'à ce qu'ils s'abandonnent à moi.
Vous me pardonnerez donc cette manie de prendre mon temps pour choisir mes proies et leur faire signer le contrat fatidique. Tout est dans l'expectative, la mise en place, la lente évolution jusqu'au bouquet final ! Je déteste qu'on me presse ou qu'on ruine la patiente mécanique en train de se refermer sur ma future victime. Par conséquent, les obligations vis-à-vis de l'Enfer, les ordres, les contraintes... Bien sûr, je m'y plie sans me plaindre, mais souvent avec un pincement au cœur devant la perte de temps et mes efforts gâchés. Aussi, les conflits avec les autres entités surnaturelles ou familles passent au second plan en ce qui me concerne. Ou du moins, jusqu'à maintenant... Mais je vais trop vite en besogne.
Comme je vous le disais à l'instant, je suis souvent assez formel, distant et impatient avec les personnes que je ne connais pas ou pour qui je n'ai pas d'estime particulière. Là encore, ça concerne beaucoup de monde... Cela dit, la meilleure façon de m'approcher est sans aucun doute l'humour (à défaut de partager mes passe-temps, bien sûr). Ironie acidule ou humour noir, voilà deux sésames pour que je m'intéresse davantage à vous. Ajoutez à cela un copieux repas et quelques rasades de ce nectar que les mortels surnomment cidre, et je suis sûr que nous pourrons nous entendre.
Ah, et j'ai également un léger faible pour les feux de cheminée, voir les flammes en général. Je vous laisse le soin d'en découvrir la raison...
Existence humaine:
Journal de Abraham Ward, 18 mars 1808 En ce jour béni, me voilà le plus comblé des hommes. Tôt ce matin aux alentours de 5 heures, Anna a enfin mis au notre enfant, Georges. Un magnifique garçon, le futur héritier de notre maison, et surtout notre fils. Rien que cela aurait suffit à me rendre plus heureux que je ne saurais le conter avec des mots. Mais le Seigneur, dans sa bonté, nous a gratifié d’un autre présent : Georges nous est venu au monde avec un jumeau. Un second fils que nous avons choisi d’appeler Cecil, et qui fera autant que son frère la fierté de notre nom.
27 janvier 1816 Les garçons grandissent bien. Blonds comme leur mère et pleins d’énergie, ils emplissent la maison de leurs rires et de leurs jeux. Comme j’envie Anna de pouvoir passer tant de temps avec eux ! Malheureusement, les affaires me retiennent souvent loin de Chicago, à mon grand regret. Toujours plus de voyages, de négociations, de contrats… Mais je ferais le nécessaire pour que ma famille puisse continuer à vivre à l’abri du besoin, coûte que coûte.
2 août 1816 Cela faisait plusieurs jours que je n’avais rien inscrit dans ce carnet. Non pas par lassitude ou fainéantise, mais à cause de mon manque de force pour coucher sur le papier ma douleur suite aux récents évènements. Je ne sais pas si… Passage raturé et illisible. Il y a de cela six jours, un terrible incendie a éclaté dans la maison. Un accident dans la remise alors que les enfants jouaient et couraient dans tous les sens. Probablement une lampe à huile renversée, je ne sais pas. Je n’ai pas envie de savoir. Et cette maudite sécheresse, ce maudit vent, qui n’ont cessé de nous tourmenter depuis des lustres et ont transformé les flammes en véritable brasier ! Oh Seigneur, pourquoi avez-vous choisi de nous infligez une telle épreuve ? Qu’ais-je fait pour mériter un tel châtiment ? Qu’avait fait Georges pour être rappelé si tôt auprès de Vous ? Et Anna, oh Anna… Si brave, qui a réussi a sauver Cecil des flammes ! Je ne peux cesser de me tourmenter en pensant que j’aurais dû être là, j’aurais dû…
19 août 1816 Anna et Cecil se remettent doucement de leurs blessures chez mon cousin Kendrick. Ma chère et tendre est courageuse, et je sais qu’ensemble nous surmonterons cette épreuve. Je m’inquiète davantage pour notre fils. Outre ses brûlures, il a encore des difficultés à bien respirer à la moindre activité un tant soit peu physique. Et ses yeux verts, autrefois si joyeux, à présent si hantés à la simple vue d’une bougie…
Journal de Cecil Ward, 3 octobre 1827 En ce jeudi pluvieux, Père m’a remis le présent journal pour que j’en emplisse les pages, comme lui et son père avant lui l’ont fait avec leur propre ouvrage. Un magnifique carnet en cuir et aux pages fines. Outre ce présent, j’espère me montre digne de la symbolique qu’il représente alors que commence officiellement mon travail au sein de la compagnie de sidérurgie la plus célèbre de Chicago. Cela fait de nombreuses années que Père m’instruit en vue de ce jour, et aujourd’hui… Sa santé décline peu et peu et l’empêche de voyager autant qu’avant. Et même si la mienne reste parfois fragile avec cette maudite toux, au moins n’ai-je pas le poids des ans à supporter. Mais assez de fatalisme. Notre association avec la Baltimore and Ohio Railroad est très prometteuse, et il est temps de me remettre au travail. Le chemin de fer n’attend pas !
29 mai 1842 Le chemin de fer a atteint Martinsburg ! C’est Philip en personne qui est venu m’annoncer la nouvelle alors que je travaillais dans mon cabinet rue des teinturiers. J’ai encore du mal à me faire à l’idée que je dirige à présent toute une branche de la compagnie ! Tant de travail alors que je peine encore à prendre mes marques à ce poste... Mais qu’importe, je ne vais quand même pas me plaindre ! Et de toute façon, il faut que je prépare mon voyage à Baltimore pour assister aux négociations de nos prix pour la future ligne vers Piedmont. Il reste encore mille et unes choses à planifier avant le départ de demain…
1er juin 1842 Un incendie a eu lieu dans un entrepôt de la compagnie le soir même après ma visite d’inspection. Probablement un accident, mais les pertes matérielles sont importantes. Et le « probablement » m’inquiète plus que je ne voudrais l’admettre. Un accident le jour de mon arrivée, peu après ma nouvelle prise de fonction ? La simple coïncidence est une explication bien trop suspecte. Mais qui ? Un concurrent cherchant à nous nuire ? Ce damné Peterson qui chercherait à se venger d’avoir raté sa promotion par ma faute ?
3 décembre 1843 C’est le troisième incendie en l’espace d’un peu plus d’un an. Encore après l’un de mes déplacements, dans le Maryland cette fois. Le doute n’est plus permis, on cherche à me nuire personnellement. Des rumeurs commencent à circuler à mon sujet, comme quoi je porterais malheur. Je n’ai de cesse de faire taire les mauvaises langues, et Peterson jubile dans son coin. J’enrage, mais suis impuissant à trouver le coupable. Mes nuits sont de plus en plus agitées.
17 février 1844 Nouvel incendie criminel, directement dans nos locaux de Chicago cette fois. J’ai de multiples blessures, mais les secours ont réussi à me sortir du brasier à temps avant qu’il ne soit trop tard. Cette fois, le doute n’est plus permis, on cherche à me tuer. Quelqu’un a dû m’assommer et vouloir maquiller le crime avec l’incendie. La garde civile s’arrache les cheveux et promet qu’elle fait tout son possible, mais je sais qu’elle ne trouvera rien que des cendres. Peterson est trop malin pour laisser des traces. Je sais que c’est lui le coupable, c’est une certitude. Mais comment le prouver ? Cette vermine a des amis haut placés, et de l’agent à revendre. Même la direction commence à prêter oreille à ses perfidies, et je me sens de plus en plus mis à l’écart. Si je ne fais rien, je vais perdre tout ce que j’ai bâti jusque là.
27 février 1844 Je suis perdu. La direction a tranché, et Peterson triomphe. J’ai voulu sauter à la gorge de ce démon, mais on m’a plaqué au sol avant que je puisse en finir avec lui. Je suis remercié. Seigneur, comment vais-je annoncer ça à Emily ? Je me sens impuissant, misérable. J’ai peur. Je paye à prix d’or des domestiques pour surveiller la maison, de peur qu’on ne s’en prenne à elle. Et d’autres gens pour surveiller les domestiques. Mais sans travail, combien de temps vais-je pouvoir continuer ces dépenses ? Quand on me reconnaît dans la rue, les gens font le signe de croix, comme pour éloigner le Malin. Comme si j’étais maudit.
14 mars 1844 Emily a fait une fausse couche. Son état est stable, mais elle reste très faible. Je ne sais plus que faire. Elle ne cesse de répéter que nous n’y pouvons rien, mais je suis terrifié à la simple pensée que les évènements récents en sont la cause. Que j’en suis la cause.
16 mars 1844 Nous avons reçu une lettre lettre de condoléances ce matin pour Emily. Signée Peterson. Jamais je n’avais autant crié. Je crois que l’espace d’un instant, j’ai perdu tout contrôle de moi-même. Emily était en larmes. Elle a dit que j’étais devenu fou. Elle ne comprend pas. Elle est en danger ! Je dois la faire partir d’ici, loin des griffes de ce dégénéré.
17 mars 1844, 16h Emily est partie, les domestiques sont partis. Je suis seul dans cette grande maison vide, dans le noir. J’ai caché dans la cave toutes les lampes, toutes les bougies, tout ce qui serait susceptible de prendre eu. J’attends. J’attends qu’ils viennent tenter de finir le travail, qu’ils viennent me tuer. J’ai mon pistolet prêt, et ce carnet. J’attends…
17 mars, 23h11 ILS ÉTAIENT LÀ ! Quand j’ai ouvert les yeux, j’étais à la cave, une bougie éclairée posée devant moi. ILS ME NARGUENT ! ILS JOUENT AVEC MOI ! Montrez-vous, démons ! Je n’ai pas peur de vous, vous m’entendez !
18 mars Je ne dois pas dormir. Tenir, il faut tenir ! Ils veulent me faire craquer, me pousser à bout. Je suis sûr qu’ils m’attendent là dehors, prêt à m’éliminer si je sors. Mais je ne leur ferais pas ce plaisir. VOUS M’ENTENDEZ ? PLUTÔT MOURIR ! Je ne finirais pas comme ça. Ni brûlé comme Georges ! TU M’ENTENDS GEORGES ? ET… Propos illisibles ou incompréhensibles, puis plusieurs pages brûlées.
…
Je n’en peux plus. Mon esprit épuisé me joue des tours. J’entends des voix, des ombres ramper. Un rire. Ils sont là, je le sais. Ce n’est qu’une question de temps.
…
J’ai failli tirer. Seigneur, j’ai failli tuer une innocente ! Mais heureusement, j’ai pu retenir mon geste à temps. Elle dit qu’elle veut m’aider. Un piège ? Je ne sais pas. Mais je suis désespéré de toute façon. Elle dit qu’elle peut tuer l’homme responsable de mes malheurs, celui qui a déclenché tous ces incendies. J’ignore tout de cette étrangère sortie de nulle part, mais cela n’a aucune importance. Que Peterson crève ! Peu m’importe le reste, je veux vivre 10 ans de plus pour voir ce chien brûler à son tour.
- « J’accepte ton marché ! Tout pour que cette enflure finisse en Enfer ! Que sa famille et ses biens soit réduits en cendres !» Un éclat de rire qui me fait sursauter, et l’étrangère me renvoie un sourire triomphant :
- « Merveilleux ! Ainsi soit-il mon cher, nous avons un accord…
Un grand froid m’envahit soudain, puis la douleur. Et ce rire joyeux qui résonne une troisième et dernière fois…
Voilà bien longtemps que je n’avais pas reçu d’ordre direct des Enfer. 50 ou 60 ans au bas mot je dirais. Rien d’étonnant en même temps vu mon manque d’implication dans les affaires courantes. Oh, ne vous y trompez pas, je fournis avec plaisir des âmes tourmentées aux Flammes Infernales. Mais les responsabilités, les obligations et les courbettes serviles n’ont jamais été ma tasse de thé. Rien de tel que de mener sa barque en solo pour prendre son temps et savourer chaque contrat à sa guise. A quoi bon bâcler le travail quand on peut en faire une œuvre raffinée ? Choisir la bonne proie, avancer lentement ses pions, voir la cible sombrer petit à petit sous la pression implacable de rouages bien huilés… Et ce moment quand l’humain est au bord du gouffre, le souffle coupé devant l’immensité du précipice ! Cet instant avant que tout ne bascule, que l’esprit ne plie le genou ! La volonté qui se craquelle, le mental qui se tord, la fissure qui ronge le dernier lien, la dernière attache… Et la chute. Rien que d’y penser, j’en ai toujours des frissons.
Je suis un esthète, que voulez-vous. Je papillonne de ville en ville à la recherche de perles rares. Des humains qui comme moi dans une autre vie, ont quelque chose de fêlé en eux. Rassurez-vous, mon passage chez ce cher Alastair aura lavé dans le sang l’esprit malade du pyromane schizophrène que je fus jadis. Il me reste simplement un goût un peu plus prononcé pour les esprits… différents. Ils sont tellement plus amusants à faire plier que les ennuyeux humains lambda ! Et untel qui n’a pas d’autre ambition que d’être plein aux as, et l’autre qui veut se venger pour un obscur lopin de terre et trois navets… Non vraiment, je privilégie la qualité à la quantité brute, c’est aussi simple que ça.
Bien sûr, au départ, je n’étais pas aussi regardant. Mes premières années démoniaques ont été bien laborieuses, à la hauteur de ma relative faiblesse. Mais j’ai su être patient. Gagner en ruse, en bagou et en puissance. Chaque hôte était plus agréable et plus intéressant que le précédent. J’ai voyagé dans différents états, aiguisant mes compétences et mes goûts… Jusqu’à aujourd’hui. On dirait bien que je me suis un peu trop dispersé, car le rappel à l’ordre était… très clair. L’Enfer trouve manifestement que je ne suis pas assez efficace, et compte bien veiller à ce que j’assure un quota d’âmes plus significatif maintenant que je ne suis plus une larve. De plus, il semble que les troubles récents du côté de Las Vegas requiert davantage d’Infernaux pour remettre les choses dans le droit chemin. Ma présence sur place est donc… Vivement souhaitée. Et moi qui comptait repartir vers l’Est après un passage rapide à Phoenix…
Enfin bon, tant pis, les ordres ne se discutent pas, et je n’aime le travail que lorsqu’il est bien fait. C’est d’ailleurs pour cela qu’il me fallait un nouvel hôte, car ce bon vieux Andrew commençait à montrer des signes de faiblesses. Heureusement, Vegas a l’air d’être une ville intéressante, qui m’était d'ailleurs encore inconnue. Je n’avais suivi que de très loin les méandres des troubles locaux. Mais qu’à cela ne tienne, je compte bien remédier à mes lacunes. Et les choses commencent bien puisque je me suis trouvé un corps plutôt seyant sans même vraiment chercher. Un certain Matt, solide, fiable et psychologue par dessus le marché. Que voulez-vous, j’ai quand même le droit d’en profiter un peu… Et je possède un goût prononcé pour l’ironie depuis cette fameuse nuit où j’ai signé mon propre arrêt de mort.
Nouvelle ville, nouveau corps et nouveau boulot. Enfin, nouvelles méthodes devrais-je dire puisque qu’à défaut de conserver la forme, le fond de commerce devrait rester le même. Des contrats et des âmes tourmentées. A nous deux, Vegas...
✘ Pseudo : J'avais mis Sandwich anonyme dans la FAQ, mais Roy est plus court ^^ ✘ Âge : 23 ans
✘ Comment avez-vous connu le forum : Top-forum & Google... Enfin, pas dans cet ordre. ✘ Votre avis : Là comme ça, je n'ai pas grand chose à relever. Le forum est agréable à l’œil et surtout bien organisé, ce qui est encore plus important à mes yeux ! La seule chose qui m'a un peu chiffoné, c'était la limite de 64ko pour l'avatar, mais ce n'est qu'un détail. ✘ Votre fréquence sur le forum : 4/7 en général, 3/7 quand le boulot déborde un peu. ✘ Un ajout : Tartiflette ?
Dossier du personnage ✘ Métier: Inspecteur de police / chasseur ✘ Description Physique: ✘ Inventaire/Pouvoirs:
John Cross
John Cross
Humain Chasseur
Messages : 85
Points RP : 63
Points ☆ : 13.5
Age : 37
Nationalité : Américaine
Situation : Célibataire
John Cross
Lun 11 Fév 2019 - 22:35
Bienvenue sur le forum! Je te laisse tranquillement terminer ta fiche, mais le peu que j'ai lu est alléchant, ton écriture est très immersive et l'histoire est bien menée =) ravi de te compter bientôt parmi nous, et à bientôt j'espère!
Dossier du personnage ✘ Métier: Sans emploi ✘ Description Physique: ✘ Inventaire/Pouvoirs:
Femora Nils
Femora Nils
Fantôme Smoothdawn • Modératrice
Messages : 382
Points RP : 109
Points ☆ : 8
Age : 32
Nationalité : Norvégienne
Situation : En couple avec Nini ♥
Femora Nils
Lun 11 Fév 2019 - 22:49
Hello et bienvenue par ici ! Certain(e)s seront heureux que tu viennes grossir les rangs infernaux Au plaisir de te croiser
Dossier du personnage ✘ Métier: Membre Rossini ✘ Description Physique: ✘ Inventaire/Pouvoirs:
Lucrezia Rothschild
Lucrezia Rothschild
Vampire Rossini • Admin
Messages : 254
Points RP : 160
Points ☆ : 0,5
Age : 345
Nationalité : Autrichienne
Situation : Vit aux côtés de Matteo ♥
Lucrezia Rothschild
Lun 11 Fév 2019 - 22:54
Je ne vois pas de qui tu parles Femy
Plus officiellement, bienvenue dans le Nevada Cecil ! J'aime bien le prénom comme le personnage choisi, très bon choix
Bon courage pour la suite de ta fiche et si tu as des questions, tu peux contacter le staff sans problème, on ne mord pas
J'espère que l'histoire vous plaira, même si j'ai comme qui dirait emplafonné légèrement dépassé la trentaine de lignes suggérées. Mais c'était plus fort que moi...
D'ailleurs, après relecture et quelques corrections (dont ce pauvre Georges rebaptisé Desmond de façon parfaitement gratuite), je pense que la fiche est fin prête !
Nous avons lu ta fiche avec attention et rien ne retient ta validation ! Nous tenons tout de même à te féliciter pour ton histoire très prenante, qui prend bien de court quand on arrive à la fin. On ne s'attendait pas du tout à ce que le pyromane soit le personnage en question ~
En tout cas, ton dossier est accepté, tu peux dès à présent te balader à Las Vegas ! Bon courage dans ta collecte d'âmes, tu en auras besoin ~
Maintenant que tu es validé, tu peux parcourir le forum à ta guise ! Nous te conseillons de faire un tour du côté des demandes pour trouver un partenaire RP et/ou faire ta demande de lieux, ou bien du côté de l'agence pour toute demande de liens. Et si jamais tu souhaites égayer tes posts, tu peux toujours faire un tour du côté de la partie Défis, à tes risques et périls !
Il y a également une partie appelée Dossiers Complémentaires, dans laquelle tu pourras répertorier les liens que ton personnage aura créé avec les personnes qu'il aura rencontrées. Si jamais le cœur t'en dit, tu as la partie Biographies où tu peux, si tu le souhaites, développer davantage l'histoire de ton personnage. Et si tu veux développer tes contacts in RP, la partie Communations te permettra de créer ton téléphone, ta messagerie mail, ou même tes réseaux sociaux !
Enfin, si tu as besoin d'un code HTML ou d'une création graphique, tu peux toujours faire ta demande dans ce sujet. Les membres te donneront volontiers un coup de main !
Sur ce, passe de bons moments à Las Vegas ! Et si tu as des questions, n'hésite pas à MP un membre du staff